Ca y est, c’est la reprise.
Tout en douceur, calmement. Déjà faut pas être pressé pour arriver. Début à 20h, mais la majorité des joueurs est arrivée à 20h40.
Ensuite, on a commencé par un petit jeu qui dure maximum 10 minutes. Pour une reprise il fallait bien ça , un petit jeu court facile à comprendre. C’est la reprise. Tranquille. Le jeu a donné cela:
“-Allez vite, lance les dés,
– J’ai une clé, non deux
-Attends j’en ai une moi aussi.
-Vite dépechez vous, j’ai besoin d’un masque jaune
-2 bonhommes
-Vite mets une salle.”
A vrai dire pour une reprise, ce fut tonique. Escape, rapide mais intense. Pour la première partie, il y avait de la discrimination dans l’air. Les 2 filles parties d’un côté, les 3 gars de l’autre. Je tiens à préciser que ce sont les gars qui sont partis les premiers, les filles n’ont pas suivi. Résultat, fiasco totale.
C’est un jeu coopératif qui dure 10 minutes maximum. Au bout de 10 minutes, si vous n’êtes pas tous sortis, vous avez tous perdu. C’est un rare jeu coopératif où tout le monde joue en même temps et donc il est quasi impossible qu’un joueur décide pour les autres. Il faut lancer des dés tout le temps.
Une fois sorti du temple, on a pris le bateau. Mais, là chacun pour soi, y compris côté tactique. Ceux devant pour arriver vite, et ceux derrière qui remplissent leurs cales, Sylvain, ou pas, n’est-ce pas Stéphanie. En tout cas, victoire de la rebelle Eléonore à Jamaïca.
Jeu où il faut faire le tour de l’île en récoltant des trésors, et en attaquant les autres navires. Jeu simple et très sympa.
Quand papa et maman sont partis, on a essayé de voir qui allait bien avec qui. A ce petit jeu Diane et Théo ont trouvé qu’ils avaient des points communs. Et oui, nous avons fait une partie de Compatibility
Le principe du jeu consiste à essayer de choisir les mêmes cartes que son partenaires sur un thème donné. C’est un party-game, qui peut être très amusant si on joue dans l’esprit du jeu. Mais si on veut gagner à tous prix cela est possible, mais cela n’a plus aucun intérêt, et il vaut mieux ne pas y jouer alors.
La soirée se termina avec un jeu qui donne de l’énergie, ou plutôt il faut en donner pour gagner. Mégawatts (ou Funkenschlag en allemand). Partie très serré où Diane qui privilégia au départ la filière éolienne, ne réussit pourtant pas à l’emporter. Que dire de Théo, adepte du bio, qui construit des centrales nucléaires!!!
C’est un jeu où la première phase est une enchère, ensuite il faut acheter des ressources, puis poser des “maisons” sur le plateau en essayant de bloquer les autres. Le vainqueur à la fin n’est pas celui qui a le plus de “villes” mais celui qui fournit le plus de “villes” en électricité.
Fin de la soirée 4h du mat. Quand je dis que c’était une reprise tranquille!!